50 Shades of Birmingham

Hello friends !

J'ai passé récemment un gros week-end à Birmingham en Angleterre. L'occasion de découvrir entre amis une ville que je ne connaissais pas du tout. Très différente de Londres, on retrouve quand même l'architecture typique anglaise à briques que j'aime beaucoup. Bref, on a bien mangé, on s'est bien promenés, on est même allés au Cadbury World (oui, le chocolaaaat) ! Plutôt qu'un long discours, je vous laisse avec les photos : 

Ne me parlez pas d'abstention ou de vote blanc !

Aujourd’hui, ça n’a rien à voir mais trop c’est trop !

Ne me parlez pas d’abstention ou de vote blanc.

Comme si cette campagne présidentielle n’avait pas suffisamment bousculé les codes, voilà qu’on se retrouve à l’entre deux tours dans une situation inédite, assez effrayante. J’étais dimanche devant ma télévision et je pensais qu’on avait touché le fond. Je me suis dit que certainement, on avait saisi la gravité du moment et qu’un tournant allait s’opérer. Mais non. L’Histoire que nous sommes en train d’écrire semble ne pas vouloir s’arrêter en si bon chemin. 

OKKO Hotels offre du luxe, du calme et de la volupté

Mon histoire avec les hôtels OKKO a commencé à Lyon. Par une délicieuse nuit de novembre, j'ai eu la chance de partager une nuit dans l'établissement lyonnais avec mes amis. Nous avions eu une présentation du concept de ces hôtels 4* pas si classiques et inaccessibles que ça. J'avais adoré l'idée qu'une fois votre chambre réservée, ce n'est pas un couchage mais un univers que vous proposent ces hôtels. En effet, tout est à disposition et ne cherchez pas de suppléments délicatement cachés, il n'y en a pas. La télévision dans la chambre vient avec chaines et service de vidéos à la demande à volonté. Et surtout, ce qui fait le charme de chaque établissement, c'est l'espace Club, ouvert à toute heure. Vous y trouverez de quoi boire, manger, s'asseoir confortablement, surfer sur internet, imprimer un document, ... 

WE First Edition Lyon - Episode 2 : Une étoile dans les yeux

Bonjour à tous ! Je vous retrouve avec plaisir pour la suite de nos aventures lyonnaises. Le premier épisode s'arrêtait sur une promenade dans les hauteurs du Vieux-Lyon avec notre émerveillement devant un arc-en-ciel superbe qui frappait la ville. Ca vous dit de connaître la suite ?
Suivez le guide !

Après être montés si haut, Alice nous annonce qu'on empruntera le grand escalier pour redescendre vers la civilisation. Ce n'était qu'un autre piège pour nous empêcher de remarquer face à nous la magnifique demeure qui allait nous accueillir : 

Villa Florentine *****

25 montée Saint-Barthélémy - Lyon 5

Eh oui l'après-midi se termine par un fabuleux cours de cuisine dans cet hôtel Relais & Châteaux. Je n'en crois ni mes yeux ni mes oreilles, quel honneur, quelle chance ! Impressionné et encore interloqué, je m'avance et c'est bien le chef en personne qui nous accueille. Dès l'arrivée à la Villa Florentine, on sait qu'on a affaire à un cadre d'une grande élégance. Tout le personnel s'affaire dans l'ombre de cet établissement aux grandes influences Renaissance italienne. Après avoir déposé nos bagages et fait un tour rapide du propriétaire, nous avons l'occasion de profiter un peu de la fameuse terrasse qui a donné son nom au restaurant étoilé. La vue est grisante, on surplombe Lyon sans être trop en altitude. Les plus téméraires profiteront de la piscine chauffée mais l'hiver approche bien trop dangereusement !

En allant vers les cuisines, le chef nous présente une grandiose pièce sculptée en chocolat. Elle représente de façon plus que réaliste les engrenages qui composent une montre. Et le modèle est à l'échelle ! Pas grandeur nature évidemment mais reproduit vraiment à l'identique dans un format spectaculaire. Je suis toujours admiratif du travail du chocolat et celui-ci est assez remarquable.

Nous sommes accueillis en cuisine des Terrasses de Lyon dans une ambiance toujours aussi chaleureuse, le chef David Delsart étant sincèrement disponible pour nous, avenant et passionné. Pour nous régaler, il a prévu de nous faire réaliser trois variétés de cupcakes apéritifs. Et il n'y a qu'à voir le panier d'ingrédients : Pecorino sélectionné par le MOF Didier Lassagne, chorizo, main de Bouddha, mélange d'épices local, ... On joue dans la cour des grands. Et c'est sans compter les invités principaux ; saumon, homard, aile de raie. Qui avait pensé les utiliser comme farce de cupcake salé ? Mes yeux brillent, je bois les paroles du chef. Alors quand il demande un volontaire pour l'aider dans la préparation, je pousse tout le monde, j'enfile les gants ! My time to shine ! 

On voit le professionnalisme quand on passe de l'autre côté. Soucieux de bien faire, je veux être à la hauteur de l'étoile Michelin de l'endroit ! Alors je m'applique, je coupe patiemment le saumon en une fine brunoise en demandant souvent vérification. Un coup d'oeil furtif et je remarque que pendant ce temps, tout le reste des ingrédients a été découpé et assemblé. Ma lenteur me perdra !

Ce moment était vraiment exceptionnel, le chef n'a pas été avare en conseils et astuces. La bande de joyeux compères que nous sommes s'attelle à garnir ces délicieux amuse-bouche ! Homard-chorizo, Saumon-concombre, Aile de raie-abricots, ... Les associations sont audacieuses, élégantes, équilibrées. Nos yeux se remplissent une nouvelle fois d'étincelles quand le chef recouvre les gâteaux de crème montée parfumée. Chaque détail compte et c'est un bonheur d'assister à la confection des plats de ce chef.

Je pensais que nous allions déguster nos réalisations sur un coin de table mais absolument pas ! David Delsart nous propose de le suivre dans un des salons de l'hôtel. Je suis époustouflé par la décoration qui me fait regretter d'être habillé de la sorte. Si j'avais su que ma tenue devait être aussi versatile, j'aurais sorti ma plus belle parure :-)

Nous prenons place dans des fauteuils bien confortables, proches du grand bar assez rétro, on ne veut pas quitter ce salon de sitôt, faites-moi confiance. Pour accompagner notre dégustation, nous avons l'honneur de tester le cocktail d'automne autour du champagne et de la châtaigne (entre autres bien sûr). Je suis assez difficile en ce qui concerne l'alcool mais c'était d'une finesse telle, extrêmement bien dosé. En bouche, nos cupcakes ne déçoivent évidemment pas. Je serais incapable de vous dire lequel a eu ma préférence, j'étais subjugué. Pour ne pas se quitter sans une touche sucrée, nous avons à notre disposition quelques mignardises réalisées par leur chef pâtissier, le talentueux Joannic Taton.

Après avoir longuement échangé avec le chef David Delsart, nous prenons le temps de photographier la vue de nuit depuis un balcon. Ce qui nous vaudra d'être chassé et hué par de riches aristocrates russes en peignoir, dérangés dans leur volupté. Whatever guys !

Poursuivre notre journée suite à un tel événement demande un certain temps. On ne sait absolument pas comment et à quelle heure se finit un samedi pareil. Confiants et épanouis, nous partons réjouis vers la prochaine étape de notre périple ... Que je me permettrai de vous raconter plus tard ;-) A bientôt les amis, je vous laisse découvrir les photos qui suivent et rêver de gastronomie !

WE First Edition Lyon - Episode 1 : Let's get this party started !

Bonjour à tous, mon retour parmi vous (merci à ceux qui sont restés !) est motivé par une aventure hors du commun. Fin Novembre, j'ai eu l'immense honneur de prendre part à un week-end inédit pour découvrir Lyon sous un nouveau jour. Et pour cela je ne remercierai jamais assez Alice que vous connaissez surement sous le pseudo Lamalice Lyon. C'est elle qui a eu l'idée folle, qui a tout organisé, qui a fait en sorte que tout se passe à merveille et, surtout, c'est elle qui nous a torturés pendant deux jours en ne nous dévoilant aucun indice du programme qui nous attendait. Donc merci pour tout.

Le rendez-vous était pris : Samedi matin, place Gailleton. Pour une fois, je n'étais pas en retard et j'ai pu tranquillement faire la connaissance de Marie, de notre réalisateur maquilleur costumier Nicolas et retrouver Alice, Doriane et Virginie. La bonne humeur était de mise mais il est inutile de nier l'angoisse qui nous pétrifiait tous ! Pourquoi nous a-t-elle demandé de ramener absolument des gants ? Qu'y a-t-il au programme de ce week-end dans une ville qu'on pense bien connaitre ? Personnellement, je suis Lyonnais depuis 2 ans alors je vous avoue ne pas m'être avancé sur cet argument ! Nous marchons quelques mètres et nous voilà face à notre destin :

Mobilboard

29 quai Docteur Gailleton - Lyon 2

Notre première escale en fera pâlir plus d'un. En effet, nos péripéties débuteront par un tour de Lyon ... en Segway ... Une fois la décharge d'adrénaline passée, je me jette sur les brioches aux pralines by Jocteur et j'essaye d'en profiter comme si c'était la dernière fois ! Non mais essayez de me comprendre, j'ai à peine appris à maitriser une voiture que là je devrais risquer ma vie sur un deux-roues qui avance selon les mouvements de mon bassin ? C'est que je suis connu pour mon déhanché, je ne voudrais pas qu'il me soit fatal ! Plaisanteries à part, nous avons profité d'une rassurante initiation et le parcours était vraiment réjouissant. Le plus impressionnant finalement c'est de monter dessus. Tout le reste n'est qu'instinct et amusement. C'est grisant de déambuler sur les quais et de descendre jusqu'au musée des Confluences qui se dessine au loin. Juste avant de rentrer, on admire une délicate averse de grêle, mêlée à un vent capricieux. Pour nous, vaillants sportifs le temps d'une heure, il est temps de décompresser et de manger ! Nous montons vers la Croix-Rousse, suivant une Alice qui, au fil des rues, se refuse de nous dévoiler la moindre information mais qui finalement nous révèle notre étape gourmande :

Bonsoir Clara

7 rue du Chariot d'Or - Lyon 4

Un charmant endroit que ce bar à vin ! Il mêle le rustique et la modernité dans un cadre pur, accueillant et lumineux. Quand je vois une fondue de St-Marcellin à la carte, généralement je n'hésite pas. Nous trinquons à ce beau week-end qui débute, auquel nous nous sentons si chanceux de participer. La fondue a convaincu pas mal d'entre nous et finalement, après toutes nos émotions, du fromage coulant, de la charcuterie et des pommes de terre, c'est la recette du bonheur ! Au dessert, ce sera tiramisu maison, très bon, ou tarte Tatin, tout aussi convaincante ! Vraiment, je retiens cette adresse très chaleureuse et avec une belle sélection de vins pour accompagner de bons plats gourmands. Pour digérer, on se rend dans une boutique à peine quelques pas plus loin :

Bonnes Soeurs

8 rue du Chariot d'Or - Lyon 4

Dès qu'on entre, on ne sait absolument pas où donner de la tête ! Vêtements, accessoires, papeterie, déco, bougies, vaisselle, bijoux, ... Tout ceci est de très bon goût et s'accorde dans un style assez pointu. Je laisse mes copines s'attarder sur les espaces "girls only" pendant que je choisis du bling bling à offrir à mes deux soeurs. Après avoir longtemps hésité, je pars sur une bague enfant argentée avec des petites oreilles de chat, adorable, et pour la plus grande je craque sur une bague fine avec une pierre semi-précieuse (j'ai encore oublié le nom !!) qui imite l'effet marbre. J'ai beaucoup aimé pouvoir être guidé et conseillé par les soeurs propriétaires de ce lieu tout en esthétisme. Non pas que je ne sache pas choisir les bijoux, homme de goût je vous en prie, mais pour faire des choix je suis moins puissant. Après avoir pris une photo parodique du mouvement surréaliste #ihavethisthingwithfloors et avoir déposé une couronne à la hauteur de mon port de tête, il est temps de quitter cet endroit. 

J'entends des rumeurs de voyages, de trains et de Gare St Paul. Encore une fois, on se croit plus malins que l'organisation et on commence à imaginer des parties de paintball endiablées dans les monts lyonnais, des auberges perdues dans les vignes, ... Du grand n'importe quoi, Alice ayant le talent de stimuler nos cerveaux, qui imaginent alors les scénarios les plus invraisemblables ! Arrivés à cette fameuse gare, nous sommes rejoints par Emmeline qui complète notre joyeux groupe de blogueurs et instagrammers. Et non, pas de train à prendre finalement ! En revanche, on gagne le droit de se perdre dans les hauteurs du Vieux-Lyon sans aucune idée du prochain lieu à nous recevoir. Perdus, fatigués car déboussolés, nous restons rieurs et émerveillés par un arc-en-ciel qui frappe Lyon en plein sur St-Nizier. Mais où peut-on bien aller comme ça ? Mais au paradis bien sûr !

La suite au prochain épisode les amis ;-) Ce week-end vaut bien qu'on s'attarde dessus !

Sève rend hommage avec la Bûche Lumière

Un peu plus tôt dans l'année j'ai eu la chance d'être convié par Charline de chez esprit des sens à la dégustation de la Bûche Lumière, fruit du partenariat entre l'institut Lumière de Monplaisir et le maître chocolatier pâtissier Richard Sève. C'est à l'occasion des 120 ans du cinématographe, invention bien éclairée des frères Lumière, qu'un des monuments de la pâtisserie lyonnaise a décidé de rendre hommage à une petite fierté made in Lyon.

Rien de mieux que de se rendre directement dans le lieu qui a vu naître cette industrie du divertissement, reflet du passé, regard sur le présent mais parfois tout autant curieuse du futur. Arrivé rue du premier film, j'entre dans le parc et je me dirige en retard comme toute diva qui se respecte vers la villa qui accueille ce délicieux événement. C'est au sous-sol que se déroule la première partie de notre soirée et par rien d'autre que la projection privée du tout premier film créé. Cette petite séquence de la sortie d'usine nous prouve le chemin parcouru depuis un siècle et deux décennies. Nous aurons aussi le droit à une visite complète mais rapide du musée Lumière, vraiment riche et présenté par un guide particulièrement cultivé !

Passons à la dégustation de la bûche, non ? On approche de Noël, pas de raison de se contenter du 24 décembre pour en déguster ! Coupe de champagne à la main, on écoute avec gourmandise les discours de Richard Sève et de son épouse. Une fois l'histoire de ce dessert festif bien en tête, c'est en bouche que j'ai envie de la rencontrer cette bûche ! On nous promet un biscuit chocolat sans farine, une feuilletine praliné noisette, un sabayon au chocolat noir 70% d'Amérique du Sud et un cœur crémeux caramel au beurre salé. Chocolat - Caramel c'est une association bien vérifiée et connue mais j'ai été surpris par les choix de monsieur Sève en terme d'équilibre des goûts. Visuellement, rien à dire, l'hommage est affiché avec les jolies impressions à même le glaçage. Cette couche craque délicatement et dévoile avec surprise que la feuilletine sert de base et que le biscuit chocolat sans farine vient apporter de la texture en s'insérant plusieurs fois dans le sabayon.

Ce que j'ai particulièrement apprécié dans cette Bûche Lumière c'est qu'elle ne fait pas l'apologie du sucre. Tout est en réalité poussé vers l'intensité du chocolat noir pour radicalement s'opposer au caramel. Personnellement avec du chocolat au lait j'aurais aussi adoré mais avec du noir 70% la Bûche plait au plus grand nombre je pense car elle est classe et élégante même en bouche. Et comme une bonne nouvelle ne vient pas seule, j'ai eu la chance aujourd'hui d'en récupérer une à partager en famille. Quelques 2h de TGV et me voilà en région parisienne pour les vacances mais avec un petit souvenir lyonnais ;-)

Les photos ont été prises par ma copine Cloporte (merci à elle, ce jour là je suis arrivé direct après les cours).

5 phrases entendues à cause d'un Insta Food

Petite pause dans tout le Miam-miam pour débattre un peu des conséquences malencontreuses d'Instagram ! J'ai choisi de rejoindre le cercle des ambassadeurs de la gastronomie sur ce réseau social et le retour de bâton est très amusant. Je vous laisse avec une petite compil' de tous ces jolis mots qu'on entend bien trop souvent :

Mais oui ! C'est bien cet homme qui vous écrit qui se délecte de tout ce que vous voyez sur mon compte. Si la quantité vous fait peur, je ne peux malheureusement pas trop vous rassurer les amis. Le plaisir de la fourchette ne se boude pas et c'est une addiction bien indomptable. Ma vie est illuminée par cette multitude de petites aventures en cuisine ou à table et c'est avec joie que je partage tout cela avec vous. Chanceux que vous êtes ! :-)

Si, des légumes ! Il y a quand même un tri hein entre ma vie et Instagram. Vous êtes pas obligés de prendre part à mes repas so boring ou mes décompensations psychologiques (ça vous ferait peur de toute façon) je vous rassure. Si je prends une photo, il y a deux probabilités assez équivalentes. Soit c'est magnifique, je sens que ça va être bon et je souhaite absolument l'immortaliser et m'y référer à chaque fois que je veux me remémorer ce moment d'anthologie qu'on a passé ensemble. Soit c'est l'inverse ! Je suis devant une arnaque monumentale et j'estime qu'il est de ma responsabilité, du haut de mes 3 pommes d'avertir tout citoyen passant sur mon compte. Et puis avouez-le, vous oubliez tout le temps ce que vous avez mangé, moi non !

Bah bichette ! Faut pas tomber dans la dépression pour moi. Bon j'avoue, celle-là je la cherche un peu. J'arrive tout surexcité après avoir testé un nouveau resto et je viens m'étaler sur mes amis, condamnés à un jambon-beurre ou coquillettes ketchup ce jour-là. Ça doit être une des conséquences d'Instagram de vouloir absolument partager son bonheur, ses joies, ses découvertes. Mais comme si voir vos caprices et excès n'était pas suffisant, vous vous sentez tellement bien que vous ne vous rendez pas compte que vous enfoncez le clou une deuxième fois en voulant absolument faire de chacun un témoin de vos derniers accomplissements. My bad !

OHMAGAD arrêtez je vous en supplie ! :-D Vous savez pas à quel point vous me mettez la pression en plus ! Déjà pour moi je sais pas où aller mais là c'est une mission digne de "Recherche appartement ou maison". Pour vous faire un topo, j'ai 150 restos à essayer à Paris et pareil à Lyon. Ils ont chacun leur truc en plus, le petit détail qui fait que je veux m'y rendre sans hésitation. Alors l'optique de faire un choix et prendre le risque de ne pas répondre à vos attentes me terrifie. Je ne veux surtout pas perdre le peu de crédibilité que j'ai peiné à acquérir à vos yeux ! Et prévenez-moi à l'avance par pitié :-p

Très bonne question ! Je pense que pour sa passion il faut savoir faire des sacrifices et connaître ses priorités. Pour tout vous dire, étant étudiant, j'ai pris une grande décision : je ne me lave plus, j'ai vendu mes habits et ma petite sœur. Ça m'a fait quelques ronds mais j'ai tout flambé chez Bocuse. Si vous avez d'autres idées je suis preneur ! Bref, bien que ces solutions apparaissent astucieuses, sur le long terme je ne suis pas sûr de pouvoir vous convaincre ! En vérité, c'est un calcul de tous les jours. J'adore aller au restaurant et faire les courses alors j'essaye de jongler avec mes envies. Je ne vous cache pas que la frustration est présente tous les jours et cherche à combattre ma raison. Ah si j'étais riche ! Forcément, je suis un peu au ralenti mais, depuis que j'ai ouvert mon blog et grâce à quelques amies bienveillantes, je trouve que je m'en sors plutôt pas mal. Vivement que je sois payé, je ne vous le cache pas ;-)


Voilà qui clôture cette première session de citations (j'en ai plein d'autres sous la main) ! J'espère que ça vous a un peu détendus. Et si vous vous êtes reconnus de l'un ou de l'autre côté de l'histoire, sachez qu'il n'y a pas de morale. Le but était de se divertir en mettant en relief nos petits travers mais surement pas de juger :-) Sur ce, je vous dis bonne journée et à bientôt !